sous-professionnel

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 2000 dans l'article Le lourd passé de l'enseignement à distance, par David F. Noble.

Pour la « livraison » effective des cours — la correction des copies et des examens -, la plupart des firmes faisaient appel à un ensemble banalisé (et souvent « sous-professionnel ») de « lecteurs » à temps partiel et payés « à la pièce », à la leçon ou à la copie corrigée.