sous-cabaret

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 2004 dans l'article Le grand retour des intermittents du spectacle, par Guy Scarpetta.

Progressivement, il s’est transformé (non sans que certains « organisateurs » en aient tiré d’assez scandaleux profits) en une monstrueuse prolifération de spectacles (plus de 600 ces dernières années), pour beaucoup extrêmement médiocres (one-man-show minables, sous-cabaret désolant) – dont la caractéristique principale est que les valeurs de l’art y sont abandonnées au bénéfice d’une conception du spectacle intégralement programmée par l’industrie du divertissement (9).