souriavong

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1980 dans l'article Cambodge : l'arme de l'aide alimentaire, par Hugues Tertrais.

Certains chefs des grands camps qui s’étaient spontanément formés le long de la frontière, comme Van Saren et le prétendu « prince Souriavong », liquidé à la mi-janvier, au camp de Nong-Mak-Moun, se comportaient en bandits de grands chemins, véritables seigneurs de la contre-bande recueillant l’aide, en distribuant un strict minimum et revendant le reste.