sorrente

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2013 dans l'article Le vin, du terroir à la marque, par Sébastien Lapaque.

Mais déjà on comprenait qu’il n’était pas une boisson comme les autres ; on savait qu’il existait des crus plus agréables que d’autres et que « deux vins frères de la même cuvée » pouvaient être inégaux, « du fait du récipient ou de quelque circonstance fortuite » ; on s’émerveillait de l’importance du terroir ; on distinguait les vins de Picenum, de Tibur, de Sabine, d’Amminée, de Sorrente, de Falerne ; on buvait également de la bière et de l’hydromel, mais on accordait au vin un privilège et un mystère.