soltani

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 2003 dans l'article En France, suicides ou morts suspectes ?, par Jérôme Erbin.

Si le cynisme et la désinvolture caractérisent donc la gestion par l’AP de ces cas de suicide, les familles doivent en plus, lorsque la mort est suspecte, endurer un véritable parcours du combattant pour obtenir la moindre information précise sur le décès de leur proche : « Mon frère Belgacem était âgé de 19 ans, confie Nadia Soltani.