sokurov

Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1998 dans l'article Renaissance du cinéma en Europe de l'Est, par Pierre Daum.

Côté cinéma d’auteur, deux noms s’imposent : Kira Muratova, dont les Trois Histoires plongent, avec un humour surréaliste, dans l’absurdité meurtrière qui règne en Russie ; et Alexander Sokurov qui, avec Mère et Fils, sorte de Pietà inversée dans laquelle un fils soutient sa mère mourante, est un des seuls à la recherche d’une lueur d’espoir.