sociale-nationale

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1982 dans l'article Espoirs et désillusions de l'après-franquisme, par Joan E. Garcés.

La face cachée d’une évolution LE comportement indépendant des directions des partis à l’égard de leurs membres a favorisé leur prétention d’agir au nom de l’intérêt général de la société, hors de toute référence de classe ou de domination sociale-nationale, pour défendre l’objectif commun : la paix sociale convenue en 1976-1977 entre les héritiers politiques de Franco et ceux qui, après sélection, ont été promus successeurs des vaincus de la guerre civile, pour mieux assurer ainsi la continuité de la structure socio-économique édifiée depuis 1939.