smyrni
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 2008 dans l'article Smyrne, deux mille sept cents ans d’une histoire tourmentée, par Philip Mansel.
Les réfugiés grecs d’Izmir emportèrent avec eux à Nea Smyrni – la « nouvelle Smyrne », nom de la banlieue d’Athènes où ils s’installèrent – et ailleurs des opinions radicales qui permirent de renverser la monarchie et de fonder le Parti communiste grec ; et aussi l’obsédante musique de rembétiko anatolienne, d’inspiration soufie, leur savoir-faire de commerçants et de nombreux souvenirs d’un paradis perdu.