sjôberg

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1971 dans l'article La grande saga du cinéma suédois, par Jean Béranger.

Avec un penchant calligraphique tout aussi magnifique, Alf Sjôberg ordonnança à la perfection une vingtaine d’intrigues dramatiques, d’un lyrisme flamboyant et complètement exacerbé (parmi lesquelles le Chemin du Ciel, Iris et le Coeur du Lieutenant, Rien qu’une mère, Mademoiselle Julie – d’après Strindberg – et les Oiseaux sauvages).