sinuihwa
Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1986 dans l'article Quand l'« ordre nouveau » donne des signes d'essoufflement, par Antoine Perraud.
La Corée du Sud se retrouve donc avec ce qu’elle a pris l’habitude de nommer une kukhoe sinuihwa ("assemblée croupion"), composée pour 78 % de néophytes (cinq cent soixante-sept hommes politiques ayant été interdits d’activités politiques pour huit ans), dont les interventions, qui ne doivent pas excéder vingt minutes, sont soumises à la censure (15).