simonson

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1974 dans l'article Superstitions écologiques, par Noëlle de Chambrun & Ignacio Ramonet.

L’analyse plus fine d’un autre réseau de signes (onomastiques, toponymiques) nous permettrait de mieux circonscrire la dimension magique de cette fiction écologique ; depuis le nom même du héros, Thorn (épine), qui, au-delà de l’idée d’obstacle et de révolte, contient une évidente référence christique, jusqu’à celui du fabricant repenti assassiné, Simonson (fils de Simon), qui est une flagrante allusion à la figure de Simon le Magicien, l’auteur tisse une trame qui tient davantage de la tradition de l’irrationnel que de la logique de la futurologie.