shita

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1966 dans l'article La politique de non-alignement au « carrefour des dieux », par Henri Di Donna.

Il y a aussi cette fontaine sacrée, le « Golden Top », où les Népalais pensent se guérir des maladies de peau ; le temple de la variole, avec la déesse Shita Mari, Contracter la variole, pour certains Népalais, est un signe des dieux qu’il ne faut point effacer au risque de leur déplaire.