setal

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1993 dans l'article Quand l'essor du secteur informel se nourrit des acquis du passé, par Catherine Coquery-Vidrovitch.

On sait, depuis le mouvement set setal à Dakar — où les jeunes ont « nettoyé » une ville laissée à l’abandon par les pouvoirs publics (8), — que les gens sont capables de prendre en main la gestion de leur quartier, en y apportant une sorte de contribution sociale qui, certes, ne s’exprime pas en budget officiel (dont les crédits risquent de servir à l’érection de villas plutôt qu’à l’organisation des services publics).