semi-submersibles
Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1974 dans l'article Les richesses minérales des fonds marins, par Jacques Perrot.
Avec les hauteurs d’eau croissantes, il a fallu passer aux engins de forage flottants soumis à des conditions rigoureuses de stabilité ; celles-ci ont été obtenues par l’immersion de ballasts de flottaison à l’extrémité de piles verticales de plus de 20 mètres de longueur, d’où le nom de plates-formes semi-submersibles donné à de tels engins.