sehûi

Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1997 dans l'article Des matins pas très calmes et toujours assoiffés, par Patrick Maurus.

Il ne faut pas chercher longtemps pour déceler, dans l’œuvre de tout écrivain coréen contemporain, la trace des deux grands blocs thématiques de cette littérature : l’obsession sociopolitique, fille des dégâts de l’urbanisation forcenée ( Le Nain, de Cho Sehûi (1), en est l’exemple le plus convaincant), et la division du pays, présente physiquement au cœur de chaque famille ( L’Autre Côté d’un souvenir obscur, de Yi Kyunyong, qui vient de mourir accidentellement).