segre
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1992 dans l'article Continuité et verdeur du cinéma italien, par Christian Zimmer.
Manila Paloma Blanca (1992), de Daniele Segre, ensuite, le plus beau, sans discussion possible, parce qu’il est le seul à s’ouvrir sur le mystère, celui de la relation entre la folie et la création, entre la parole et l’image, contre la réalité et cet envers qu’elle révèle dans son dévoilement même.