sarati

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1975 dans l'article Le film colonial et l'homme maghrébin, par Pierre Boulanger.

Viendront ensuite, entre 1921 et 1929, Visages voilés, âmes closes (Henry Roussel), Sarati le terrible (Louis Mercanton et René Hervil), le Sang d’Allah (Luitz-Morat), Inch’Allah (Franz Toussaint), les Fils du soleil (René Le Somptier), le Fils du Sahara (Edwin Carewe), l’Arabe (Rex Ingram), A l’horizon du Sud (Marco de Gastyne), Yasmina (André Hugon), l’Esclave blanche (Augusto Genina), le Jardin d’Allah (Rex Ingram), la Maison du Maltais (Henri Fescourt), Sables (Dimitri Kirsanoff), Sous le ciel d’Orient (Grantham-Hayes et Fred Leroy-Granville), l’Ame du bled (Jacques Séverac), Dans l’ombre du harem (Léon Mathot), Aventures orientales (Gennaro Righelli)… Quelques-uns de ces films feront l’objet de remakes sonores et parlants.