saoudi
Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1995 dans l'article Paradoxes d'une renaissance culturelle, par Nadia Khouri-Dagher.
La ville accueille ainsi à nouveau ou pour la première fois des artistes confirmés comme le poète syrien Adonis, la sculptrice jordanienne Mouna Saoudi, le peintre syrien Youssef Abdelki, les peintres irakiens Ali Taleb et Dia El Azzaoui, les hommes de théâtre tunisiens Tewfik Jebali et Fadhel Jaïbi, ou la chorégraphe tunisienne Nawal Skandrani, et de jeunes artistes comme le sculpteur irakien Halim Mehdi Hadi, premier prix de sculpture au dernier Salon d’automne du Musée Sursoc : « Je ne pouvais rien dire dans mon pays.