santoméenne
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2006 dans l'article Fièvre pétrolière à São-Tomé-et-Príncipe, par Jean-Christophe Servant.
Dans cette nouvelle page de la tragi-comédie santoméenne, réprimandes et noms d’oiseaux furent à la hauteur des enjeux : avant même que le pétrole coule, l’Etat allait recevoir 113,2 millions de dollars tirés de l’attribution des concessions, soit trois fois plus que son produit national brut (PNB), dépendant jusqu’alors de la culture de rente du cacao.