santacruz

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 2004 dans l'article Derrière la violence des gangs du Salvador, par Philippe Revelli.

« La violence des maras, explique la sociologue Maria Santacruz Giralt (2), est essentiellement orientée vers la destruction de ceux qu’elle considère comme ses ennemis : des jeunes de conditions sociales et économiques très semblables, qui ne se différencient que par leur appartenance au groupe adverse.