san-pedro-necta

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1984 dans l'article Pauvres cabanes, total désoeuvrement, par Mireille Durand.

» Chez-eux, à Santa-Ana-Huista, San-Pedro-Necta ou Colotenango, point n’est besoin de « tuer le temps qui tue »… Les pauvres cabanes de Dos-Lagunas tiennent difficilement debout entre les énormes blocs de calcaire disloqué et les souches géantes des arbres de 40 mètres de haut que les réfugiés ont dû abattre à la machette après avoir nettoyé par le feu le sous-bois de la forêt primaire.