sadjadeh
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1965 dans l'article Les tapis persans, par Geneviève Gaillet.
Sa religion lui prescrivant d’une part le respect de la propriété d’autrui (s’il n’est pas propriétaire du lieu où il a choisi de prier, il doit demander une autorisation), d’autre part la propreté, ce tapis, dont le nom persan, « sadjadeh », peut être traduit par « place où l’on pose le front », lui est indispensable.