sabîli
Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 2016 dans l'article Imams en France, loin des clichés, par Solenne Jouanneau.
Que leur savoir religieux, souvent acquis de manière autodidacte, soit ou non garanti par des titres profanes (maîtrise, doctorat, diplôme d’école d’ingénieurs…), ils conçoivent l’imamat comme un engagement que l’on fait « à la grâce de Dieu » (fî sabîli l-lâh) pour les « bonnes actions » (hasanât).