ségovias

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1984 dans l'article Le sandinisme sans fatalité, par Philippe Videlier.

Carlos Fonseca se familiarisa avec Sandino d’abord au travers du livre apocryphe de Somoza, le Vrai Sandino ou le Calvaire des Ségovias qui tentait laborieusement de réduire la résistance du rebelle à une histoire de bandits et sa personnalité à celle d’un psychopathe délirant, mégalomane, schizophrène et sadique, victime d’hallucinations napoléoniennes (pas moins !