rudesses
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1955 dans l'article Au service de la Seigneurie florentine, par Marcel Brion.
Deux ambassades à Rome, auprès du pape Jules II, ce terrible Rovere mieux fait pour être militaire qu’homme d’Église, en 1503 et 1506, l’initient aux subtilités et aux rudesses – alternées – de la politique, vaticane et lui permettent d’étudier, comme un phénomène de la nature tout en bourrasques et en éclats, le pontife dont les fureurs se brisaient contre l’intrépidité entêtée de Michel-Ange.