rubicond
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1955 dans l'article Charles-Quint et Philippe II vus par les ambassadeurs vénitiens, par Constantin Antoniade.
Voici l’empereur à vingt-cinq ans, peint par Gasparo Contarini : « D’une taille moyenne, ni trop grand ni trop petit, il est blond, plutôt pâle que rubicond ; bien proportionné dans ses membres ; le nez un peu aquilin, les yeux “avares”, grave d’aspect, sans être sévère ou cruel ; ce qui le gâte c’est le menton et même toute la mâchoire inférieure qui est tellement longue et large qu’elle paraît postiche, de sorte qu’il ne peut pas fermer la bouche, et lorsqu’il parle, surtout lorsqu’il veut finir une phrase, il balbutie.
Un e autre apparition
Un autre article du Monde Diplomatique qui contient ce mot :