rousselot
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1978 dans l'article Offensive judiciaire et contre-révolution politique, par Pierre Dommergues.
Rousselot, il est le représentant le plus parfait de la nouvelle race d’élus conservateurs : il est présent dans : le prestigieux Comité économique des chambres réunies (Joint Economic Committee), où il fait entendre ses positions « minoritaires » sur la politique fiscale, la relance économique, la lutte contre le chômage, l’encouragement au « capitalisme populaire » qui permettra aux Américains de devenir propriétaires individuels du capital américain… Dans un document massivement diffusé auprès de ses électeurs du vingt-deuxième district en Californie, John Rousselot énumère les « fondements de sa philosophie » : croyance en Dieu et en l’idée que l’homme est créé à son image ; propriété privée des moyens de production ; intervention minimale de l’Etat dans l’industrie privée ; droit pour chaque citoyen de choisir son métier et son employeur ; droit pour chaque employeur de choisir ses employés ; conviction que la finalité de la nation est parfaitement définie par la Déclaration d’indépendance et la Constitution ; stricte adhésion au principe selon lequel tous les pouvoirs politiques appartiennent aux Etats, à l’exception de ceux que la Constitution réserve au gouvernement fédéral ; réorganisation de la bureaucratie fédérale afin d’encourager les talents individuels et le sens des responsabilités ; élimination des entreprises à capitaux publics et gérées par l’Etat, qui concurrencent les entreprises privées ; rupture immédiate des relations économiques et diplomatiques avec les pays communistes ; révision intégrale des programmes d’aide à l’étranger en fonction de nos objectifs ; garantie absolue que nos contributions financières aux organisations internationales, y compris aux Nations unies, ne seront pas détournées au profit des pays communistes.
Deux autres apparitions
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