rokh
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1965 dans l'article Un art d'une richesse inouïe dominé par le réalisme, par Andrée Busson.
Sous ses descendants, qui établirent leur capitale soit à Hérat comme son fils Shah Rokh, soit à Chiraz comme son petit-fils Iskender Sultan, se développa pendant le XVe siècle l’art timouride (1369-1500).