ritmos
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2012 dans l'article Contestation sonore en Angola, par Alain Vicky.
Au tournant des années 1960-1970, de nombreux groupes électriques, produits par le label Ngola, utilisaient en effet la « rébellion pacifique de la musique » pour réveiller les « consciences endormies par cinq siècles de colonisation et qui ne croyaient plus en rien », rappelle Amadeu Amorim, membre des Ngola Ritmos, pionniers mythiques de la musique populaire angolaise.