renégociables

Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 2002 dans l'article Cette mortelle fascination du dollar, par Michel Husson.

A Buenos Aires, en pleine crise, la Bourse a monté en raison d’achats de titres facilement renégociables en dollars, et l’on estime globalement à 120 milliards de dollars les fuites de capitaux (dont 24 milliards de dollars entre mars et décembre 2001), soit un montant à peu près équivalent à celui de la dette publique.