remisibles
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1964 dans l'article La fiscalité est guidée par deux principes.
Les « remisibles » quittaient directement le territoire mexicain pour gagner les caisses de l’Espagne ; les « particulares » étaient perçus au bénéfice de l’Eglise, et les « ajenos » servaient à alimenter le fonctionnement du tribunal des mines ou d’institutions semblables.