rebaptisant 10/1974

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1974 dans l'article Des promesses pas toujours tenues, par Louis Marcorelles.

Le film prenait considérablement de l’importance au Festival de Cannes – toujours – et son sens était peut-être légèrement déplacé : en le rebaptisant Pitié pour eux, la distribution française poussait vers l’attendrissement et, une fois de plus, vers l’exotisme ; il devenait un constat poétique sur la délinquance juvénile à Mexico.

Ces mots partagent le même lemme que « rebaptisant », probablement une version au singulier, au pluriel, conjuguée, … ou une erreur :

• rebaptisa 11/1975
• rebaptisait 12/2021
• rebaptisent 04/1991
• rebaptiser 08/1970
• rebaptiserait 11/1975

D'autres articles du Monde Diplomatique qui contiennent ce mot :

1. La création au secours du cinéma français, par Carlos Pardo 05/1994
2. L’obsession antimissile des Etats-Unis, par Olivier Zajec 07/2007
3. Où va la « révolution de décembre » au Soudan ?, par Gilbert Achcar 05/2020