rappeuses

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2019 dans l'article Mauritanie, une société obsédée par la couleur de peau, par Pierre Daum.

« Pour 5 000 ouguiyas [12,50 euros], tu payes deux heures de studio, et tu ajoutes à nouveau 5 000 pour le beatmaker [concepteur rythmique], explique Lola Eva, une des rares rappeuses mauritaniennes.