ranchera
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2016 dans l'article Les vengeurs masqués de la rue mexicaine, par Benjamin Fernandez.
Pour Monsiváis, l’apogée de la lucha libre est celui de la culture populaire latino-américaine : « Son âge d’or dialogue avec d’autres âges d’or dans le cinéma, le boléro, le tango, la valse péruvienne et la chanson ranchera (…) : une sensibilité urbaine qui commence avec la fierté du barrio et qui finit par transformer la vantardise en arme de survie.