raflèrent

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2012 dans l'article Le chat de Felipe González, par Luis Sepúlveda.

Le chat pouvait s’engraisser de plus belle : avec l’argent bon marché de la BCE, les banques raflèrent de la dette publique à un taux d’intérêt fastueux de 5, puis 6, puis 7 %.