radiologiquement

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1995 dans l'article Armes radioactives contre l'« ennemi irakien », par Roland Laffitte & Naima Lefkir-Laffitte.

Lors de l’impact, une forte proportion de la masse du métal se transforme en aérosol dont les fines particules, facilement emportées par les vents, sont aisément absorbées, chimiquement toxiques pour les reins et radiologiquement dangereuses pour les poumons.