radio-sensibles

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1961 dans l'article Les effets biologiques des armes nucléaires, par Claudine Escoffier-Lambiotte.

D’une façon générale, les tissus formés de cellules à renouvellement rapide sont les plus radio-sensibles, et parmi ceux-là les organes formateurs des cellules du sang (moelle, rate…), les glandes de l’intestin, les glandes génitales et la peau.