radio-induites

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1992 dans l'article Radioactivité « naturelle » et déchets nucléaires, par Martine Deguillaume.

Jugements pas réellement scientifiques, parce que les pathologies prises en compte sont uniquement celles qui sont présumées radio-induites ; parce qu’on se fonde sur des calculs de dose moyenne estimée et non effectivement mesurée ; et aussi parce que l’absence de données sur les effets génétiques radio-induits chez les humains est quasi totale.