quintessentielle

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 2016 dans l'article Traduire Shakespeare, par Jean-Michel Déprats.

Les deux fonds coexistent, contribuant à porter le lexique shakespearien à un total de vingt mille ou trente mille mots, auxquels on se plaît à opposer les mille huit cents mots de Racine, langue quintessentielle et musicale plus profondément intraduisible que le poète baroque élisabéthain.