qingbang
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 2012 dans l'article Le roman policier chinois entre Mao et tao, par Michel Imbert.
L’économie de marché, permettant l’émergence du concept d’individu dans cette société traditionnellement fondée sur le groupe, va certainement produire des formes originales de roman noir, fortes de leur inscription dans un groupe social, à l’instar de l’œuvre de Liu Qingbang Le Puits (8), qui décrit d’une plume crue et cynique cette société schizophrène où le crime paie, mais où les assassins sont autant victimes que coupables.