procaïne

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1971 dans l'article Ennui et désoeuvrement ne peuvent que précipiter le déclin des aptitudes physiques et intellectuelles, par Claudine Escoffier-Lambiotte.

Les injections de procaïne, poursuivies pendant de longs mois, ont des résultats favorables sur la peau et les phanères, et de nombreux praticiens européens les utilisent comme adjuvants aux indications qu’appellent les divers troubles relevant d’une pathologie mineure.