pro-guineo

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1978 dans l'article L'Etat des supplices, par Ignacio Ramonet.

Le « patronato » fut aboli, mais l’économie continua de reposer sur trois institutions ayant leur siège à Madrid le Comité syndical du cacao, le Syndicat du bois et Pro-Guineo (exploitant le café), dépendant toutes trois de la présidence du gouvernement (en l’occurrence l’amiral Carrero Blaneo), qui déterminait directement la politique à suivre.