prismen
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2002 dans l'article La langue de l'étranger, par Jacques Derrida.
Dans Prismen, à la fin de son « Portrait de Walter Benjamin », en 1955, Adorno écrit ceci, dont je voudrais faire une devise, au moins pour toutes les « dernières fois » de ma vie : « Sous la forme du paradoxe de la possibilité de l’impossible, il [Benjamin] réunit pour la dernière fois la mystique et l’Aufklärung, le rationalisme émancipateur.