priétaire
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 2000 dans l'article Quand l'Espagne révolutionnaire vivait en anarchie, par Frédéric Goldbronn & Frank Mintz.
Dans la plupart des entreprises à capitaux étrangers (comme le téléphone et certaines grosses usines métallurgiques, textiles ou agroalimentaires), si le pro priétaire — américain, britannique, français, allemand ou belge — demeura officiellement en place pour ménager les démocraties occidentales, un comité ouvrier prit en main la gestion.