pré-colombien
Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 1966 dans l'article Les Guaranis : longtemps persécutés et exploités ils bénéficient aujourd'hui de la protection des autorités s'ils le désirent, par Léon Cadogan.
Pour que ceux-ci ne lui manquent pas dans l’au-delà, le Guayaki observe durant toute sa vie de nombreux tabous et, en cas de mort violente, brûle le crâne du défunt pour que son âme ne s’égare pas — tout comme le Guaranis pré-colombien allumait un feu sous les sépultures et comme le font encore aujourd’hui ses descendants mbya, chiripa et pai.