pourrissantes
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1988 dans l'article De la « compréhension » des « valeurs » fascistes à la trahison des démocraties, par Jacques Decornoy.
Un poète, Pierre Jean Jouve, annonce, surgi des « iniquités pourrissantes des nations » de l’Europe, le déferlement de « la catastrophe la pire de la civilisation » : « Nous sentons bien que ce n’est pas tant de révolution qu’il s’agit que de destruction pure, de recherche d’un coupable objet de haine, et de régression » (1).