potées

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1977 dans l'article Le mariage de la vigne et de l'olivier, par Jean-Michel Durand-Souffland.

Derrière ses terribles murailles devant quoi, immobiles et droits comme des sentinelles, des cyprès géants semblent monter la garde, Tarragone la Haute regarde les vagues de tous les balcons ventrus de l’avenida de la Victoria, fleuris tantôt de généreuses potées de géraniums, rouges comme les lèvres de Carmen, tantôt de linge multicolore, bouquets que le soleil fait éclater aux balustrades.