post-accident
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 2010 dans l'article Comment BP se joue de la loi, par Khadija Sharife.
En effet, le droit maritime international considère les plates-formes pétrolières comme des navires, et les avocats de Transocean peuvent demander à limiter les responsabilités financières de la société dans la catastrophe à hauteur de la valeur post-accident de la plate-forme : à peine 27 millions de dollars.