porte-oriflammes
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1974 dans l'article La déesse du Soleil garde ses adorateurs, par Robert Guillain.
Derrière, en revanche, quand la chose blanche est passée, on distingue à la flamme des torches les gardiens et les suivants extérieurs de la déesse, en longue file, dans leur costumerie des anciens temps : archers religieux avec leurs grands arcs dans des housses, porteurs de carquois et de flèches, hallebardiers et porte-oriflammes, desservants qui brandissent d’énormes éventails ou qui serrent sur leur poitrine, dans leurs manches de soie, de grands rameaux de sasaki, laurier sacré du shinto.