pointillées
Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1972 dans l'article Sud-Yemen : Une révolution menacée ?, par Claude Deffarge & Gordian Troeller.
Les robes orange, ici aussi, sont attribuées aux esclaves, les noires pointillées de blanc aux maraîchères, les vertes à certaines catégories de métayers… A Tarim, le vendredi, jour de prière publique, la vie s’arrête pendant toute cette cérémonie, sur la grand-place qui longe la mosquée : elle sert d’esplanade de prière à tous ceux, nombreux, qui n’ont pas le droit de venir faire leurs dévotions à l’intérieur du bâtiment.